mercredi 11 juillet 2012

Brusquement


          Tu arrives chez moi en jupe et t-shirt moulant. Je t’ouvre, tu rentres, on se fait la bise. Mais de suite, j’ai envie de toi. Tu as à peine le temps de dire ouf que je te plaque face contre le mur ! Je me colle à toi, sens ton parfum à ta nuque. Je prends tes bras et les soulève pour les coller au mur. Ensuite mes mains descendent le long de ton corps. Elles s’attardent sur tes fesses, que je trouve cambrées et excitantes. Puis je descends sur tes jambes, je les caresse. Je soulève ta jupe, me retrouve nez à nez avec tes superbes fesses. Je m’empresse de les lécher, les mordiller et manger. C’est un délice ! Pendant ce temps, mes doigts viennent titiller ton sexe par-dessus le string.  Je ressens tes frissons, tu es immobile et collée au mur mais ton corps réagit comme il peut à mes caresses. Finalement, tu semblais n’attendre que cela. Tu ne dis rien et dans le silence, on en entendrait presque le son de mes doigts parcourant ton corps. Je m’attaque au string, que je descends délicatement le long de tes jambes. Là aussi je sens des frissons te parcourir par le contact du doux tissu avec ta peau. Je soulève un à un tes pieds (avec talons) afin d’ôter le string. Puis je pose mes mains sur tes fesses, que je caresse, lèche et mordille à nouveau. Elles me font craquer, cela me fait bander ! Pendant que ma bouche s’occupe de cette si belle partie de ton corps, mes doigts glissent encore sur ton sexe, pour le titiller. Ta petite toison de poils est bien entretenue, je sens que cela commence à s’humidifier. Mes doigts pénètrent légèrement ton sexe et là, je sens encore plus d’humidité !


          Je me redresse et te retourne, plaquant encore tes bras sur le mur. Tu te laisses faire et sembles aimer être soumise. Je le vois dans ton regard. Au passage, je t’adresse un petit bisou sur la bouche. Tu fermes les yeux, j’en profite pour te faire un baiser pulpeux en prenant tes lèvres entre les miennes. J’entends un léger soupir de satisfaction. J’introduis ma langue, qui entre en contact avec la tienne. Puis tu tends ta langue, que je m’empresse de sucer gloutonnement ! Le soupir se fait plus intense.


          Je soulève ton t-shirt de manière à recouvrir ta tête avec. Tu es ainsi aveuglée et « bâillonnée ». Je me retrouve cette fois nez à nez avec ta généreuse poitrine. Hummm, que cela m’excite aussi. Je dégrafe subtilement ton soutien-gorge (fort joli au demeurant), laissant tes seins balloter librement. Le contact de mon doigt avec tes tétons suffit à les redresser et te faire légèrement sursauter. Tu as toujours les yeux fermés. Tu sembles vouloir t’abandonner et juste ressentir les choses. Cela me plait. Ma bouche va donc en contact avec chacun de tes seins tour à tour. Une léchouille pour l’un, un suçon pour l’autre, un mordillement pour l’un, une dégustation pour l’autre. Je prends tes poires en pleine bouche puis les malaxe délicatement, comme le boulanger qui pétrirait sa pâte avec passion. Pendant que je te déguste avec grand appétit, je t’entends gémir de manière étouffée à travers le t-shirt recouvrant ton visage.


          Je redescends vers tes jambes pour t’enlever la jupe. Le t-shirt continue de recouvrir ta tête. Je t’entraîne vers le salon, te guidant à la manière d’un chien d’aveugle. Tu te laisses faire. Une fois dans le salon, je te force à t’agenouiller, puis j’ôte le t-shirt de ta tête. Désormais tu es nue. Tu as toujours les yeux fermés. J’ouvre la braguette de mon pantalon et dirige ta tête vers mon abdomen. Par ce geste, tu comprends ce que j’exige de toi ; tu places tes mains sur mes hanches, descends mon pantalon. Tes doigts se baladent sur mon boxer et un moment, tu entres en contact avec mon sexe en érection à travers le tissu noir et cotonné. J’entends un « hummm » sortir de ta bouche. Je te laisse descendre doucement mon boxer, révélant mon sexe qui se retrouve redressé vers ton visage. Tu ouvres les yeux et j’y lis la gourmandise qui les envahit. Après avoir posé tes mains dessus pour le caresser, tu poses tes lèvres dessus, le lèche puis l’aspire goulûment dans ta bouche. Je t’entends gémir mais de manière sourde _ ayant la bouche pleine comme une gourmande ;-) _ et cela m’excite encore davantage, m’amenant moi aussi à pousser un grognement de plaisir. Mes mains se saisissent de ta tête et t’accompagnent dans les vas et viens. Je te guide et même t’impose le rythme de la gourmandise dont nous profitons tous les deux.


          Sur le point de jouir, je me retiens pour passer à autre chose et réserver le meilleur pour la fin. Je te stoppe donc dans ton élan, prends un foulard et te bande les yeux. Puis je t’allonge sur le ventre, tends tes bras et les attache aux pieds de la table. J’en profite aussi pour te bâillonner avec un autre foulard. Te voilà encore plus à ma merci et cela m’excite. Ma verge en est encore plus rigide et redressée ! Je te caresse le dos et le parcours de haut en bas du bout des doigts. Immédiatement tu réagis en te courbant et émettant un bruit étouffé par le foulard qui couvre ta bouche. Je fais plusieurs vas et viens en rapprochant mon visage. Les chatouilles font que tu te cambres et un moment, tes fesses galbées entrent en contact avec mes lèvres. Je ne me fais pas prier pour les embrasser, les lécher. Ma langue remonte du creux de tes reins (avec effet immédiat de te faire encore plus cambrer) jusqu’à ta nuque. Ton goût est délicieux et ta réaction _ gémissements et mouvements d’un corps sensible mais attaché et donc limité en mouvements _ ne fait qu’augmenter mes envies et mon excitation. Je profite de ta soumission pour faire ce que je veux ; toucher-caresser tout ton corps, le lécher et le couvrir de baisers. Je m’attarde dans les zones érogènes (nuque, creux des reins, le long du dos, fesses …).


          Pendant que ma langue parcourt tes courbes, mes doigts ne restent pas inactifs et traînent aussi sur ton corps vallonné, pour finir par atterrir entre tes jambes. Tour à tour, mes doigts puis ma langue titillent ton jardin secret. Pour préparer le terrain, mes doigts pénètrent l’entrée de ton vagin et le titillent. Je sens encore de l’humidité, preuve que tu apprécies. Après que mes doigts aient glissé le long de tes jambes, je décide de passer à l’étape suivante. Je redresse ta croupe, qui m’excite encore plus dans cette position hyper cambrée. Je la fesse doucement puis intensifie la fréquence et le geste. J’entends les quelques cris que tu pousses malgré le bâillon. Mais dans la tonalité, je comprends que ce sont des cris de d’excitation. Je me colle à ton arrière-train, mon sexe se frottant sur tes fesses. Leur douceur combinée à celle de ma verge tendue font que les sensations deviennent encore plus agréables, m’amenant à émettre un son de satisfaction. L’humidité de ton entre-jambes permet de lubrifier la zone et mon sexe. Je peux ainsi plus facilement te pénétrer et intensifier les sensations. Mon sexe rentre doucement dans le tien, je le ressors un peu puis m’enfonce dans ton intimité. Je commence à accélérer le mouvement, ce qui a pour effet de nous faire gémir tous les deux. Ton gémissement est étouffé par le foulard dans ta bouche mais il n’en demeure pas moins fort en plaisir. Mes va-et-viens se font de plus en plus pressants et rapides,  provoquant un « ohhh » de ma part et un « hmmmm, gmmm » de ta part. Je te tiens par les hanches tout en te prenant en levrette, le claquement de nos deux corps en contact se faisant de plus en plus entendre. J’en profite aussi pour t’asséner quelques fessées, ce qui te fait encore plus gémir à chaque fois ! Je kiffe de te baiser de cette manière _ soumise et cambrée que tu es.
          Les gestes gagnent en intensité et sauvagerie, tout comme le plaisir. Je le sens au bout de mon sexe et dans chaque partie de mon corps. Arrivant au bout de ma jouissance, je me retire et éjacule sur tes fesses ! Un cri de plaisir s’échappe de ma gorge. J’entends à peine ta jouissance, masquée par ton bâillon. Heureusement, mon corps a ressenti ton plaisir. Une fois que mon liquide a fini de se répandre sur ta croupe, je m’allonge à tes côtés, haletant et en sueur. Je respire par la bouche pour récupérer. Je tourne la tête vers toi : je te sens aussi fatiguée mais comblée.


          Après s’être reposé, on pourra repartir pour une nouvelle aventure…