dimanche 28 octobre 2012

Sauvage


          Cela se sentait qu'on allait en arriver là. Dés les premiers coups d'oeil, la complicité était évidente. C'était lors d'une soirée chez des amis. Les convives étaient nombreux. Cela n'a pas empêché nos regards de se croiser. Et comme par enchantement, avec une sorte de télépathie, la même envie nous a submergé. Pendant la soirée, nous nous sommes cherché, croisé, rapproché sans jamais se parler. Des vas et viens d'une pièce à une autre, parmi tous ces gens. Des sourires évocateurs, des effleurements discrets mais sans toucher, des expressions du visage provocantes. Cela faisait partie du jeu. Un jeu dont l'issue nous semblait prédéterminée dans nos têtes.
          Thématique chic oblige, je portais un beau costume beige, avec cravate et gilet de soie violets aux reflets changeants. De ton côté tu avais une magnifique robe noire, mettant tes formes en valeur. Décolleté, talons aiguilles, tout était là pour ajouter de l'excitation à ce petit jeu un brin pervers.



          A une heure avancée de la soirée, je t'ai vu mettre ton manteau, prête à quitter les lieux. Mais ton regard était encore présent. Il cherchait le mien, d'un air de dire "je m'en vais, mais pas sans toi. Suis moi". Bien entendu, j'ai immédiatement saisi le "message". Après que tu sois sortie, je me suis dirigé vers l'entrée de l'appartement, afin de partir moi aussi. Evidemment je n'ai pas oublié de remercier mes hôtes et d'échanger quelques banalités du genre "ce fut une plaisante soirée, on se reverra bientôt... etc". Mais ma tête était ailleurs. La seule chose qui comptait était de te rattraper, même si je me doutais que tu m'attendais. J'ai donc descendu les marches de l'escalier à toute hâte, excité comme rarement ! A la sortie du bâtiment, j'ai regardé à gauche puis à droite. Et je t'ai vu, sur le trottoir d'en face, adossée à la porte d'une entrée de bâtiment. Assurément tu m'attendais comme prévu, le message était clair. Mais je ne t'ai pas rejoint de suite. Le jeu était tout tracé et commun dans nos esprits ; tu as commencé à t'éloigner et moi à te suivre en gardant toujours une certaine distance. Ceci m'a laissé le loisir de t'observer, te dévorer du regard : cette démarche chaloupée, ce déhanchée, les talons qui claquent sur le bitume ... mon Dieu que c'était agréable ! Tu faisais tout pour me provoquer, attiser mon excitation. Et cela fonctionnait à merveille. Je sentais déjà mon membre se réveiller dans mon pantalon. Lui aussi avait capté le message !
          De temps en temps, je sentais que tu avais envie de te retourner, comme pour capter mon expression et me provoquer encore plus. Mais tu ne l'as pas fait. Ce qui ne faisait qu'accentuer l'envie bien évidemment.



          En arrivant près de chez toi, mon coeur battait la chamade ! Car je savais à peu près comment la suite allait se dérouler. Tu as ouvert la porte d'entrée du bâtiment, en n'omettant pas de jeter un petit regard discret dans ma direction, pour me jauger mais aussi estimer si j'aurais suffisamment de temps pour ne pas que la porte se referme à mon nez. Pendant que tu te dirigeais dans le hall vers l'ascenseur, je me tenais à la porte d'entrée que j'avais attrapé au vol. La place était déserte, il n y avait que nous deux ("génial" me disais-je dans ma tête, l'excitation de plus en plus présente).
          Une fois l'ascenseur arrivé, tu es monté dedans et t'es retourné en me regardant. Ah ce regard évocateur que tu m'as lancé, je ne peux l'oublier ! Tout était dit sans un mot ! D'un pas hâtif, je t'ai rejoint avant que la grille se referme. Je me tenais droit à tes côtés, sans te regarder. Mais il était évident que tout mon corps et mon âme étaient déjà avec toi. La grille de l'ascenseur (à l'ancienne) s'est donc refermée, l'ascenseur a commencé à monter ... tout comme mon désir qui a atteint un sommet. Je me suis dés lors précipité sur toi, te prenant dans mes bras et t'embrassant langoureusement sur la bouche. Tu devais t'attendre à cela puisque tu en as fait de même. Je t'ai plaqué contre une des parois de l'ascenseur, ma main relevant  ta jambe et la collant à ma hanche. Tout en continuant à t'embrasser, j'ai soulevé tes bras et les ai plaqué au mur. Mes baisers descendaient le long de ta nuque, ma main caressait ta jambe par dessus tes bas noirs si soyeux. Puis je suis remonté vers tes seins généreux, pour les prendre à pleines mains. Le seul son que j'entendais sortir de ta bouche était un gémissement de plaisir.




          L'ascenseur s'arrêtant à ton étage, la grille s'est ouverte. Le fait qu'il y ait quelqu'un ou pas ne nous a pas plus perturbé que cela. Quelquepart, nous étions convaincus qu'il n y aurait personne et trop dans le feu de l'action. Nous avions raison ; il n y avait personne. Tout en continuant à s'embrasser, nous nous sommes dirigés sur le palier de ton appartement. Pendant que tu ouvrais la porte, j'en profitais pour continuer à t'embrasser dans le cou, te caresser les hanches. Ce qui fait que tu avais du mal à glisser la clé dans la serrure ! Cela a duré quelques minutes, qui parurent interminables et rapides à la fois, tellement j'étais concentré sur toi. Le temps, le lieu et une éventuelle présence n'avaient plus d'importance. Puis avec un mouvement rapide, nous nous sommes faufilés à l'intérieur. Te plaquer contre la porte a permis de la refermer. Tout en enlevant ton manteau et le mien, je continuais à mélanger ma langue avec la tienne dans une pénombre sexy en pareil circonstance. Les baisers étaient fougueux, intenses. Tout ce que nous pouvions entendre, c'était nos souffles haletants.

          D'un geste vif, je t'ai retourné et plaqué tes bras contre la porte. T'obligeant à te cambrer, tu t'es exécutée. A ce moment, je n'avais qu'un seul désir, de plus en plus ardent. Et tu semblais être consentante, voire même demandeuse. J'ai soulevé ta robe et arraché ton string, dont j'ai à peine eu le temps d'apprécier la beauté, à part de sentir la dentelle au toucher. Devant ta croupe si magnifiquement exposée, mon sexe était en érection totale sous mon boxer. Une main te tenant par la nuque, j'ai introduit un doigt de mon autre main dans ton sexe, que j'ai immédiatement senti réceptif. Tout ceci avait eu le même effet sur toi, tu étais trempée. Tu as poussé un petit cri de plaisir.


          Toujours en te tenant par la nuque, Je t'ai amené jusqu'au canapé du salon, ai plaqué ton visage sur l'assise, fesses à l'air. La vue de ton postérieur cambré avec les bas noirs était terriblement sexy et excitante. J'ai immédiatement déboutonné mon pantalon et l'ai descendu, ainsi que mon boxer. Ma queue bandante était ainsi érigée à l'air libre, prête à sévir. 
          Sortant un mouchoir en tissu de ma poche de veste, je t'ai bâillonné. Puis te prenant par les hanches _ en n'omettant pas de claquer tes belles fesses au passage _  j'ai introduit mon membre dans ton sexe mouillé. Ceci s'est accompagné par un gémissement de ta part à travers le bâillon, m'excitant davantage. Les va-et-viens se sont intensifiés. Au fur et à mesure que je te pilonnais, tes cris étouffés gagnaient en amplitude, me conduisant à te prendre de plus en plus fort. C'est ensuite de tes fesses que je me suis occupé ; elles ont aussi eu le droit à un pilonnage puissant, tout en te maintenant par ta longue crinière. Les sensations du "cavalier enfourchant sa monture" me faisaient grogner de plaisir.
          L'envie arrivant à son apogée, je voulais aussi en faire profiter ta bouche. Dés lors, je me suis retiré de tes fesses, t'ai brusquement redressé pour te placer accroupie devant ma queue toute raide et chaude, dégoulinante de liquide pré-éjaculatoire. En t'ôtant le bâillon, un gémissement s'est échappé de tes lèvres, traduisant l'excitation encore présente du pilonnage. Me saisissant de ta tête entre mes mains, je t'ai obligé à prendre mon sexe en bouche. Je t'ai imposé les vas et viens et ai pu apprécier là aussi tes cris étouffés. Ceci a eu pour effet de me faire soupirer d'extase. Accélérant le mouvement jusqu'à la jouissance, j'ai ainsi pu éjaculer dans ta bouche et apprécier ton regard coquin/gourmand manifestant le même plaisir. L'éclairage tamisé provenant de l'extérieur et traversant la fenêtre du salon donnait un reflet particulier au sperme coulant de tes lèvres : une image de cochonnerie sans tabou, dont je me délectais.


          Toujours sans mots, la soirée-jeu s'est ainsi achevée. Mais la nuit ne faisait que commencer... 



mercredi 11 juillet 2012

Brusquement


          Tu arrives chez moi en jupe et t-shirt moulant. Je t’ouvre, tu rentres, on se fait la bise. Mais de suite, j’ai envie de toi. Tu as à peine le temps de dire ouf que je te plaque face contre le mur ! Je me colle à toi, sens ton parfum à ta nuque. Je prends tes bras et les soulève pour les coller au mur. Ensuite mes mains descendent le long de ton corps. Elles s’attardent sur tes fesses, que je trouve cambrées et excitantes. Puis je descends sur tes jambes, je les caresse. Je soulève ta jupe, me retrouve nez à nez avec tes superbes fesses. Je m’empresse de les lécher, les mordiller et manger. C’est un délice ! Pendant ce temps, mes doigts viennent titiller ton sexe par-dessus le string.  Je ressens tes frissons, tu es immobile et collée au mur mais ton corps réagit comme il peut à mes caresses. Finalement, tu semblais n’attendre que cela. Tu ne dis rien et dans le silence, on en entendrait presque le son de mes doigts parcourant ton corps. Je m’attaque au string, que je descends délicatement le long de tes jambes. Là aussi je sens des frissons te parcourir par le contact du doux tissu avec ta peau. Je soulève un à un tes pieds (avec talons) afin d’ôter le string. Puis je pose mes mains sur tes fesses, que je caresse, lèche et mordille à nouveau. Elles me font craquer, cela me fait bander ! Pendant que ma bouche s’occupe de cette si belle partie de ton corps, mes doigts glissent encore sur ton sexe, pour le titiller. Ta petite toison de poils est bien entretenue, je sens que cela commence à s’humidifier. Mes doigts pénètrent légèrement ton sexe et là, je sens encore plus d’humidité !


          Je me redresse et te retourne, plaquant encore tes bras sur le mur. Tu te laisses faire et sembles aimer être soumise. Je le vois dans ton regard. Au passage, je t’adresse un petit bisou sur la bouche. Tu fermes les yeux, j’en profite pour te faire un baiser pulpeux en prenant tes lèvres entre les miennes. J’entends un léger soupir de satisfaction. J’introduis ma langue, qui entre en contact avec la tienne. Puis tu tends ta langue, que je m’empresse de sucer gloutonnement ! Le soupir se fait plus intense.


          Je soulève ton t-shirt de manière à recouvrir ta tête avec. Tu es ainsi aveuglée et « bâillonnée ». Je me retrouve cette fois nez à nez avec ta généreuse poitrine. Hummm, que cela m’excite aussi. Je dégrafe subtilement ton soutien-gorge (fort joli au demeurant), laissant tes seins balloter librement. Le contact de mon doigt avec tes tétons suffit à les redresser et te faire légèrement sursauter. Tu as toujours les yeux fermés. Tu sembles vouloir t’abandonner et juste ressentir les choses. Cela me plait. Ma bouche va donc en contact avec chacun de tes seins tour à tour. Une léchouille pour l’un, un suçon pour l’autre, un mordillement pour l’un, une dégustation pour l’autre. Je prends tes poires en pleine bouche puis les malaxe délicatement, comme le boulanger qui pétrirait sa pâte avec passion. Pendant que je te déguste avec grand appétit, je t’entends gémir de manière étouffée à travers le t-shirt recouvrant ton visage.


          Je redescends vers tes jambes pour t’enlever la jupe. Le t-shirt continue de recouvrir ta tête. Je t’entraîne vers le salon, te guidant à la manière d’un chien d’aveugle. Tu te laisses faire. Une fois dans le salon, je te force à t’agenouiller, puis j’ôte le t-shirt de ta tête. Désormais tu es nue. Tu as toujours les yeux fermés. J’ouvre la braguette de mon pantalon et dirige ta tête vers mon abdomen. Par ce geste, tu comprends ce que j’exige de toi ; tu places tes mains sur mes hanches, descends mon pantalon. Tes doigts se baladent sur mon boxer et un moment, tu entres en contact avec mon sexe en érection à travers le tissu noir et cotonné. J’entends un « hummm » sortir de ta bouche. Je te laisse descendre doucement mon boxer, révélant mon sexe qui se retrouve redressé vers ton visage. Tu ouvres les yeux et j’y lis la gourmandise qui les envahit. Après avoir posé tes mains dessus pour le caresser, tu poses tes lèvres dessus, le lèche puis l’aspire goulûment dans ta bouche. Je t’entends gémir mais de manière sourde _ ayant la bouche pleine comme une gourmande ;-) _ et cela m’excite encore davantage, m’amenant moi aussi à pousser un grognement de plaisir. Mes mains se saisissent de ta tête et t’accompagnent dans les vas et viens. Je te guide et même t’impose le rythme de la gourmandise dont nous profitons tous les deux.


          Sur le point de jouir, je me retiens pour passer à autre chose et réserver le meilleur pour la fin. Je te stoppe donc dans ton élan, prends un foulard et te bande les yeux. Puis je t’allonge sur le ventre, tends tes bras et les attache aux pieds de la table. J’en profite aussi pour te bâillonner avec un autre foulard. Te voilà encore plus à ma merci et cela m’excite. Ma verge en est encore plus rigide et redressée ! Je te caresse le dos et le parcours de haut en bas du bout des doigts. Immédiatement tu réagis en te courbant et émettant un bruit étouffé par le foulard qui couvre ta bouche. Je fais plusieurs vas et viens en rapprochant mon visage. Les chatouilles font que tu te cambres et un moment, tes fesses galbées entrent en contact avec mes lèvres. Je ne me fais pas prier pour les embrasser, les lécher. Ma langue remonte du creux de tes reins (avec effet immédiat de te faire encore plus cambrer) jusqu’à ta nuque. Ton goût est délicieux et ta réaction _ gémissements et mouvements d’un corps sensible mais attaché et donc limité en mouvements _ ne fait qu’augmenter mes envies et mon excitation. Je profite de ta soumission pour faire ce que je veux ; toucher-caresser tout ton corps, le lécher et le couvrir de baisers. Je m’attarde dans les zones érogènes (nuque, creux des reins, le long du dos, fesses …).


          Pendant que ma langue parcourt tes courbes, mes doigts ne restent pas inactifs et traînent aussi sur ton corps vallonné, pour finir par atterrir entre tes jambes. Tour à tour, mes doigts puis ma langue titillent ton jardin secret. Pour préparer le terrain, mes doigts pénètrent l’entrée de ton vagin et le titillent. Je sens encore de l’humidité, preuve que tu apprécies. Après que mes doigts aient glissé le long de tes jambes, je décide de passer à l’étape suivante. Je redresse ta croupe, qui m’excite encore plus dans cette position hyper cambrée. Je la fesse doucement puis intensifie la fréquence et le geste. J’entends les quelques cris que tu pousses malgré le bâillon. Mais dans la tonalité, je comprends que ce sont des cris de d’excitation. Je me colle à ton arrière-train, mon sexe se frottant sur tes fesses. Leur douceur combinée à celle de ma verge tendue font que les sensations deviennent encore plus agréables, m’amenant à émettre un son de satisfaction. L’humidité de ton entre-jambes permet de lubrifier la zone et mon sexe. Je peux ainsi plus facilement te pénétrer et intensifier les sensations. Mon sexe rentre doucement dans le tien, je le ressors un peu puis m’enfonce dans ton intimité. Je commence à accélérer le mouvement, ce qui a pour effet de nous faire gémir tous les deux. Ton gémissement est étouffé par le foulard dans ta bouche mais il n’en demeure pas moins fort en plaisir. Mes va-et-viens se font de plus en plus pressants et rapides,  provoquant un « ohhh » de ma part et un « hmmmm, gmmm » de ta part. Je te tiens par les hanches tout en te prenant en levrette, le claquement de nos deux corps en contact se faisant de plus en plus entendre. J’en profite aussi pour t’asséner quelques fessées, ce qui te fait encore plus gémir à chaque fois ! Je kiffe de te baiser de cette manière _ soumise et cambrée que tu es.
          Les gestes gagnent en intensité et sauvagerie, tout comme le plaisir. Je le sens au bout de mon sexe et dans chaque partie de mon corps. Arrivant au bout de ma jouissance, je me retire et éjacule sur tes fesses ! Un cri de plaisir s’échappe de ma gorge. J’entends à peine ta jouissance, masquée par ton bâillon. Heureusement, mon corps a ressenti ton plaisir. Une fois que mon liquide a fini de se répandre sur ta croupe, je m’allonge à tes côtés, haletant et en sueur. Je respire par la bouche pour récupérer. Je tourne la tête vers toi : je te sens aussi fatiguée mais comblée.


          Après s’être reposé, on pourra repartir pour une nouvelle aventure…

lundi 11 juin 2012

La plume


          Allongée sur le ventre, tu es sur le lit en train de rêvasser. Tes jambes sont surélevées et croisées. La pièce est éclairée par une lampe de chevet à intensité discrète, dans les tons rouges mais suffisante pour qu'on puisse éventuellement lire-écrire. De l'encens parfume le lieu d'une douce odeur fruitée de printemps. Et une musique douce (type "chilled out") ajoute à l'ensemble une sonorité agréable et pas imposante. Voilà ce qu'il m'est permis d'apercevoir au palier de la chambre avec la porte entrouverte... Cela me donne une idée.

          C'est donc cet instant que je choisis pour m'approcher discrètement de toi. Avec à la main... une plume (PS : ne me demandez pas où je l'ai déniché, cela n'a pas d'importance. Mais ne cassons pas l'ambiance de l'histoire qui vient à peine de commencer...) ! Je m'installe au pied du lit. Tu as gardé la même position, ne t'étant aperçu de rien. Tes songes ont l'air profond. Quelquepart, cela m'arrange. Tout doucement, j'approche la plume du dessous de tes pieds et les effleure avec. Sans réaction dans un bref premier temps, cela fait ensuite son effet et tes orteils bougent, suivi d'un petit sursaut de ta part. Tu te retournes, toute étonnée. Me voyant auprès du lit, tu t'exclames :
– "Mais...que fais tu là ? Et... comment es tu rentré ?!".
Je sens que la surprise t'a un peu effrayé! Tu n'as cependant pas l'air horrifiée, voire plutôt rassurée de me voir. Pour ne pas en rajouter, je te réponds :
– "Eh bien, la porte était ouverte ma chère".
Un peu étonnée, tu répliques par :
– "... Certes, mais quelle idée de rentrer sans prévenir ! Tu m'as fait peur !".
Et là, je te balance :
– "Désolé, je ne voulais pas t'effrayer, mais plutôt te faire une agréable surprise".
Un peu dubitative, tu me dis :
– "... Quand même, il y a des surprises un peu plus... agréables".
Suite à cela, j'achève la partie orale (si je puis dire) de mon idée "diabolique" :
– "Oh mais ne t'en fais pas, ce n'est pas fini. La surprise ne va évidemment pas s'arrêter à cette frayeur. Remets toi donc dans la position où tu étais et laisse moi faire".
Perplexe pendant un instant, tu sembles cependant accepter de jouer le jeu. La curiosité sans doute. Cette façon d'avoir commencé à te surprendre et le fait que je vienne te dire que ce n'était qu'un début t'intrigue, je le sens. Et c'est ce qui me plaît encore plus et me conforte dans la "diabolicité" (dans le bon sens du terme) de mon idée.


  Après t'avoir laissé reprendre ta position initiale, je m'attelle à ma tâche (qui est presque une mission, une aventure... Toi tu ne le sais pas mais moi si, même si je vais aussi découvrir des choses sans doute insoupçonnées). La plume reprend donc son parcours débuté de manière un peu surprenante (pour toi surtout). Elle effleure à nouveau tes pieds, commençant par les doigts pour venir vers le talon. Cette fois, tu sembles moins surprise, même si cela te chatouille un peu et te fait légèrement bouger les orteils. Après que tes pieds aient cessé de gesticuler, la plume repart ; du talon, direction la cheville, puis le mollet, parcouru par un geste souple et glissant. Arrivé au niveau du genou, tu laisses tes jambes très légèrement redescendre vers le lit, laissant le creux du genou à découvert. La plume profite bien sûr de cette faille pour s'y engouffrer, elle n'en attendait pas tant ! Immédiatement, ta réaction indique que c'est une zone érogène ; tu gigotes, je sens même des frissons te parcourir. C'est un encouragement à la continuation ! Alors allons y gaiement.
  Mon alliée la plume, dirigée par une main décidée, prend la direction de la cuisse, la remontant doucement mais sûrement, s'arrêtant au début de ta jupe arrivant un peu plus haut que la mi-cuisse. Là, l'hésitation se fait sentir ; plonger sous la jupe ou continuer par dessus ce tissu agréable à l'oeil et au toucher mais pas autant que ta peau. L'effet ne sera évidemment pas le même. J'attends un peu de voir si tu réagis, en quête d'une indication de ta part qui pourrait m'orienter...Après quelques secondes de suspense intenable, j'ose ; la plume glisse donc sous la jupe, remontant tel un sous-marin vers tes fesses. Bien qu'elles soient recouvertes d'une culotte rose avec dentelles blanches fort sympathique, le contact avec la peau peut plus facilement se faire vu la légèreté du tissu qui ne recouvre pas toute la surface de cette délicieuse croupe. Puis la plume effleure aussi délicatement ton entrejambe mais ne s'y attarde pas. Le fait que tu te laisses faire me rassure, l'audace a donc été payante. Bravo la plume, je suis fier de toi ! Trêve de plaisanteries, une fois arrivée sur tes fesses, la plume tergiverse ; le mieux à faire semble être de passer de l'une à l'autre de manière très douce. L'effet est immédiat ; j'entends un léger soupir sortir de tes lèvres. Je crois même apercevoir que tu fermes un peu les yeux. Hummm, ça a l'air de fonctionner et ne pas te déplaire.
  Alors la suite ; la plume redescend un peu vers tes cuisses puis reprend le chemin de ces délicieuses courbes à parcourir en glissant par dessus ta jupe. Elle en arrive au creux de ton dos, si délicatement cambré. Ton haut – bien que moulant – empêche tout contact avec ta peau. J'envoie un signal en faisant parcourir la plume du bas vers le haut par-dessus ce tissu là aussi agréable à l'oeil et au toucher mais pas autant que ta peau (oui je l'ai déjà dit, mais je ne m'en lasse pas). La plume fait des va-et-vien lents mais suffisamment marquants pour faire de l'effet même à travers ton haut. Elle atteint ta nuque, que tu rends plus accessible en baissant la tête. Ce qui a pour conséquence de faciliter le voyage de ce si petit, si léger mais si intéressant et sensuel ustensile. Elle caresse agréablement cette partie de ton corps, ainsi que tes oreilles, ta tête, ton cuir chevelu. Ça y est, tu as compris le message ; ta main remonte ton haut, comme une invitation/autorisation à la plume d'effleurer directement ta peau frémissante. Ce que la plume ne peut évidemment pas refuser...Alors elle parcourt ce si joli dos, qui en a la chair de poule. Ta tête est désormais plaquée sur le lit, tes yeux sont fermés. Je sens ton souffle et tes gémissements prendre de l'intensité. Le dos, cette zone si sensible, érogène, est devenu le terrain de découverte et de plaisir de cette petite plume en même temps que le mien. La plume redescend vers le bas de ton dos, qu'elle caresse en mouvements circulaires. L'effet est que tu te cambres encore plus, mettant en valeur le galbe de tes fesses. La plume se dirige donc tout droit vers elles, en repassant sous la jupe, puis en redescendant le long de tes cuisses. Elle en revient au creux de ton genou – là aussi effet immédiat avec des frissons qui te parcourent, un mouvement de cambrement de ton bassin et un gémissement plus intense s'échappant de ta bouche. Mon plaisir est tout aussi intense et décuplé que le tien. La plume retourne sur le mollet, remonte jusqu'à la cheville et achève ce long mais délicieux périple là où il a commencé ; le dessous de tes pieds. Quel pied !


  Et la plume passe le relais à ma langue, qui parcourt le même trajet, tout aussi sensuellement et délicatement, ne manquant pas d'humidifier chaque partie de ton corps. L'ordre des gestes est quasi identique, à la différence près que je ne me fais pas prier pour m'attarder davantage sur chaque zone et me délecter de ton goût. Ma langue traîne d'abord sur tes pieds, puis tes chevilles, suivies de tes mollets et l'intérieur de ton genou auquel je porte une attention particulière avec des petits coups lents puis rapides. Ceci a le don de te faire gémir de plus belle. Tu te retiens mais je sens que tu n'es pas loin de lâcher un cri. Je remontre ensuite le long de tes cuisses, je sens que tu frissonnes et te contractes.
  J'arrive jusqu'à ton jardin secret. Là aussi j'y prête une attention délicate, en passant ma langue sur la culotte dans un premier temps, puis glissant délicatement dessous. Je sens que tu te contractes et te retiens pour ne pas gémir, comme si tu ne voulais pas qu'on t'entende. Ton plaisir est malgré tout là et cela me motive à continuer à te titiller avec ma langue aventureuse. Elle ne s'arrête pas en si bon chemin puisqu'après s'être attardée un bon moment sur ton entrejambe, elle remonte doucement mais sûrement vers ta croupe, qui se cambre encore plus au contact de mon humide organe buccal. Lors d'un bref instant, mes mains servent à maintenir tes fesses si douces et en profitent pour te caresser du bout des doigts au point de limite te chatouiller. Ceci provoque un mouvement vers le haut de ton bassin et fait que tes fesses entrent en contact avec ma bouche. Je ne me fais pas prier pour poser goûlument mes lèvres sur cette peau si tentante et la recouvrir de baisers.
  Puis ma langue reprend son chemin, zigzaguant le long de ton dos, jusqu'à atteindre ta nuque. Là encore, tu baisses la tête et redresses tes cheveux afin de lui dégager la voie. Elle peut ainsi errer comme bon lui semble derrière tes oreilles, puis ton cou et le long de tes épaules. La dégustation est succulente et te sentir frémir ne fait que décupler le plaisir. Au moment ou ma langue parcourt le chemin dans le sens inverse, une fois arrivée au creux de tes reins, tu te retournes et me fais enfin face. Tu poses tes deux mains sur ma tête et m'orientes délibérément sous ta jupe. Apparemment c'est une zone dont tu apprécies l'exploration par ma langue. Je me fais donc un plaisir d'y retourner et te procurer les sensations que tu attends ...


          Quant à la plume, elle retrouve sa fonction première à l'ancienne, à savoir parcourir cette fois la page blanche afin d'y décrire son histoire...

dimanche 13 mai 2012

En mai, fais (ce qu) s'il te plaît !

Après un mois d'avril qui a justifié l'expression de ne pas (trop) se découvrir d'un fil, on en arrive enfin à une période plus décontractée. Alors, profitons des beaux jours. C'est le moment de sortir, se prélasser au soleil. Mais aussi se baigner. Est-ce que la saison est plus propice aux jeux sensuels ? Assurément elle donne envie de s'extirper du lit (tout en songeant à y retourner plus tard ;-)) et des couches épaisses de vêtements pour prendre l'air, se changer les idées après un hiver long et rugueux et faire des choses en extérieur. Est-ce que l'habillement _ assurément plus léger _ fait aussi que les envies sont décuplées ? Probablement. Il est clair que voir des corps _ même habillés mais plus finement _ est inspirant. La suggestion est toujours tentante _  autant qu'un corps dénudé _ pas vulgaire et même érotique. Jouer avec l'eau rend les choses plus sensuelles, tout en rafraîchissant (sans trop calmer) les ardeurs. Etre au soleil illumine les corps, les bronze et les rend attrayants. S'allonger corps à corps dans de l'herbe (tondue et sentant bon la nature renaissante) est agréable et peut être agrémenté d'un bon pique-nique (gastronomie et coquineries peuvent faire bon ménage). Ce ne sont donc pas les possibilités qui manquent. Avec un peu d'imagination et d'envie, on peut en trouver des endroits et des jeux plus ou moins insolites.

Bref, c'est la belle saison qui s'annonce et a débuté. C'est vraiment ma saison préférée, entre des températures agréables sans être trop chaudes et le répit de la période froide qui a certes son charme mais qui est trop "confinante" à mon goût.

Et vous, quelle est votre saison favorite ?

dimanche 8 avril 2012

Physique ou pas physique ?

On va finir par croire que j'en fais une obsession. Mais y a des moments où j'en ai plus qu'assez ! Je viens encore de me prendre un "rateau" par une fille avec qui j'ai discuté sur le net. Vous me direz "c'est chose courante, ça fait partie de la vie, même réelle". Mais c'est justement le fait que ça devienne courant qui n'est pas rassurant. Et puis je trouve que cela reste quand même assez propre au monde du virtuel. Car dans le réel, on peut plus rapidement voir le coup arriver, même si ça ne fait pas plus plaisir pour autant. Alors que via le net, ce qui est traître est de se prendre une bonne gifle en s'y attendant moins. Bien sûr je vous entends dire "mais il faut arrêter d'être naïf". Dans ce cas, à quoi bon continuer, parfois je me le demande. Evidemment que l'essentiel de la vie se passe dans le réel, pas dans le virtuel. Mais on ose toujours croire que parmi les gens du monde virtuel _ qui n'est qu'un outil _ existent des gens sincères, qui ne se réfugient pas derrière la superficialité de l'écran, d'un masque, du physique. Et pourtant, c'est ce qui arrive. Et les femmes jouent de plus en plus à ce jeu là. Là aussi j'entends dire "il faut bien que les gens _ les femmes en particulier _ se protègent. Et puis elles jouent avec les règles essentiellement établies par les hommes". Certes, on peut y trouver des arguments. Mais ça n'explique et n'excuse pas tout.
Franchement j'en ai assez des discussions qui prennent une bonne entame, où les valeurs de "feeling, partage" sont évoquées, avant d'en arriver au fameux et fatidique moment d'échange de photo et que là, patatras, le soufflé tombe ! Toujours le droit à la désormais habituelle phrase "Tu n'es pas mon style/type, désolé" !! Moi je dirai que c'est le masque qui tombe ! Oui on ne peut pas plaire à tout le monde. Mais comment voulez-vous prendre confiance et ne pas se considérer comme un "monstre" quand on entend souvent cela ? Certains pourraient dire "laisse tomber, ces filles n'ont rien compris, elles ne s'attachent qu'au physique _ et encore, chacun ses goûts, qu'est-ce que la beauté finalement _ et sont superficielles. Elles n'en valent pas la peine. Une personne de valeur approfondira la discussion/relation et ne s'attachera pas à une simple photo _ qui ne résume pas la personne". Le problème est que j'entends plus souvent ce discours que ceux du genre "Oh je trouve nos échanges fort intéressants, je ne vois pas le temps passer ... J'aimerais que l'on se rencontre ... Je t'apprécie".

Ce texte peut me faire paraître comme aigri. Au lieu d'utiliser ce terme, je dirai plutôt que je suis blessé, frustré, déçu. Malgré mon expérience et mes efforts pour rester réaliste, les pieds sur terre, pragmatique et un peu moins naïf qu'auparavant, j'ai toujours en moi ce côté sincère, sensible qui a envie de croire que de très belles rencontres sont possibles, même via le net.

Je crois que je devrais davantage sortir. C'est déjà ce que je fais un peu, je fréquente aussi des gens intéressants fort heureusement. Mais il faut croire que ce n'est pas suffisant. Peut être faut il arrêter ces échanges via le net ou fortement les diminuer. Ceci dit, bizarrement ce n'est pas parce que les échanges sont moins nombreux via le net (et il vaut mieux ainsi) que cela n'affecte pas autant. Alors qu'on pourrait/devrait se dire que ce n'est pas grave ni l'essentiel.

J'espère écrire des textes un peu plus "joyeux" à l'avenir. Malgré tout, ce que j'évoque depuis le début de mon blog reste un vaste sujet de débat.
Promis, je vais plutôt me concentrer à imaginer/vivre de belles rencontres que je traduirais par écrit. Cela sera sûrement plus agréable pour les lectrices/lecteurs d'ici.

mercredi 14 mars 2012

Liberté

J’aimerais vous donner mon avis et témoignage en tant qu’homme.

J’étais aussi inscrit sur un site du genre. Mais j’ai laissé tomber. Car ça n’aboutissait pas. Et je ne parle pas que de rencontres. Même au niveau discussion, c’était stérile voire même inexistant !! Est-ce que même sur ce genre de site ce n’est pas sur cela qu’il faut compter (à savoir un minimum de discussion) ? Pourtant _ et Eff ainsi que plusieurs lecteurs/lectrices de son blog le confirment _ la recherche des gens passe aussi par là, non ? D’ailleurs j’imagine mal comment cela pourrait en être autrement ; en effet, comment nouer contact s’il n y a pas un minimum de discussion et de feeling ? Il faut croire pourtant que ça arrive et même dans la majorité des cas. Je veux bien croire que ce n’est pas un site de rencontre du style Meetic (quoique les intentions et efficacité de ce genre de site restent discutables et je préfère largement des sites dits libertins ou coquins où cela n’empêche pas à mon avis des discussions et rencontres amicales) et que généralement on va direct au but, à savoir une rencontre voire de la « consommation ». Mais j’estime que même ce genre de site ne se résume pas à cela, non ? En tout cas pour moi le net n’est qu’un outil parmi d’autres et on fait ce que l’on veut, à partir du moment où on est vrai, sans se cacher derrière l’écran et le clavier. Et personnellement, je ne me contente pas du virtuel et des cams. Je préfère des rencontres réelles, en chair et en os, basées sur le partage, le respect, le dialogue. Même si cela reste amical, il est plus agréable et facile de discuter les yeux dans les yeux. Bien entendu il faut que le courant passe et que ce soit possible (en étant éloignés de 1000 kms c’est plus difficile). Mais déjà il faut établir ces bases de communication, respect et partage.
En tout cas je vous comprends mieux mesdames quand vous dites que vous êtes considérées comme de la « viande » juste bonne à écarter les cuisses. Ceci dit, je tiens à dire que pour les hommes ce n’est pas forcément mieux. Faire la « queue » _ dans les 2 sens du terme (et encore, il faut là aussi remplir certains critères) _ n’est pas franchement agréable et flatteur. Et dés qu’on ne répond pas aux exigences, on est tout autant zappé. Surtout qu’étant plus nombreux, vous avez l’embarras du choix mesdames (même si le choix n’est pas toujours glorieux et qualitatif, il faut le reconnaître). Donc comment se distinguer à travers tous ces prétendants ? Espérer tomber sur quelqu’un d’ouvert (dans le bon sens du terme) n’est pas chose aisée, même pour nous les hommes. Et bien que me sentant à l’aise dans mes baskets, cela ne me rassure pas de voir comment on peut être (mal)traité comme un bon à rien. Tout ça parce qu’on ne remplit pas une (check)liste de demande. Il suffit d’un grain de sable pour que l’on soit sorti du jeu ! Cela n’aide pas dans la confiance. Ca explique pourquoi certains hommes sont perdus, découragés. Eh oui, ça n’arrive pas qu’aux femmes.

Il est sûr que je ne dois pas tout bien faire comme il faut. Je veux bien croire que je peux être maladroit. Mais que faire, à part être sincère et moi-même ? Je ne vais pas tricher, jouer un rôle et me surestimer. Et me valoriser physiquement semble difficile voire impensable. Or il faut être réaliste, sur ce genre de sites on vient aussi (et surtout) pour cela. Est-ce à dire alors que quand on ne remplit pas les sacro-saints critères (chevelu, abdos en tablette de chocolat, bien membré voire plus …), on est condamné à l’échec ? Cela signifie t-il que si on n’est pas un bel homme physiquement impeccable, on n’a pas le droit aux plaisirs (et je ne parle pas uniquement des plaisirs charnels) de ce que peut éventuellement apporter un tel site ?
Je suis loin d’avoir un physique qui plait. Mais je ne pense pas me résumer à cela pour autant. Je pense et essaye de plaire autrement. Je suis conscient de mes qualités, mes caractéristiques. Peut être que cela ne correspond pas à ce genre de sites. J’ose espérer malgré tout que là aussi il y a des gens sains, intelligents qui ne cataloguent pas et ne résument pas tout à cela. D’ailleurs, à lire la plupart de vos commentaires, cela confirme mon idée. Alors comment faire pour rencontrer des gens comme vous ? Est-ce que les perles sont si rares ? Est-ce si inenvisageable de discuter avec des gens et les rencontrer sans répondre à un certain nombre de critères stéréotypés (genre « ne pas faire moins d’1m80, avoir le membre ne mesurant pas moins de 18-20 cm …» ! Quelle idée saugrenue d’associer la qualité à cela !!) ? Est-ce qu’un homme se résume à cela, tout comme la valeur d’une femme ne se limite pas à la couleur de ses cheveux ou ses mensurations ?
Je me fais peut être de fausses idées et illusions.

En tout cas je confirme, pas facile d’être un homme seul ...